



Louis Erard La Petite Seconde Metropolis x The Horophile Tobacco réf. 34248AA66
Chaque anneau, une pulsation éternelle, une vague de l'univers, se rencontrant dans un doux échange d'éclats d'étoiles et de rêves entrelacés.

POUR LE MEILLEUR ET POUR L’EMPIRE
La Petite Seconde Metropolis Louis Erard x The Horophile — Quand Louis Erard rencontre un insider passionné de belle horlogerie indépendante, ils ne causent pas, ils créent. Le résultat est une nouvelle base de collection de La Petite Seconde 39 mm de Louis Erard: trois variations (anthracite, saumon, brun) sur un style Art déco, d’inspiration new-yorkaise et revisité dans un esprit résolument contemporain — le néo déco!
En édition limitée, 178 exemplaires sur l’ensemble des variantes.
« Merci. » Pour une fois, pourquoi ne pas commencer par le début ? Car la collaboration Louis Erard x The Horophile — comme toutes les autres collaborations menées par Louis Erard — est une aventure humaine avant de devenir une montre. Une rencontre, à hauteur d’humains. Deux mains qui se tendent, se saluent, se remercient. Et de ces rencontres naissent les garde-temps.
Comme à chaque fois, cette montre n’a pas qu’une seule fonction, elle ne fait pas que donner poliment l’heure, elle porte un message : ensemble on est plus forts. Cette montre est le résultat d’un partage, partage de cultures, de regards, d’envies, de passions. Louis Erard, devenu mentor de la belle horlogerie de création abordable en Suisse sous l’impulsion de son dirigeant Manuel Emch. Amr Sindi, créateur de la plateforme Instagram @TheHorophile, consultant marketing itinérant, producteur de séries limitées indépendant. Avec une touche fraternelle de plus : Manuel Emch et Amr Sindi sont liés par une profonde amitié depuis plus de 15 ans.
Cette montre — ces montres en réalité, car il y en a trois, trois variations — est pensée comme une collection dans la collection. « Une base sur laquelle d’autres séries spéciales pourraient être bâties », évoque Amr Sindi.
Cette montre Metropolis est basée sur La Petite Seconde Louis Erard, toute classique dans son boitier acier de 39 mm, avec sa couronne signature « LE » — c’est d’ailleurs le seul endroit où la marque apparait. Tout le reste est neuf, construit comme un voyage entre deux temps, entre deux siècles, entre les Roaring 20s et nos années 20 à nous. Le résultat : l’invention d’un nouveau style. Ce style : le néo déco, concaténation de l’Art déco et de l’esprit contemporain.
Cette montre est un hommage malgré elle : Louis Erard a vu le jour dans les fièvres Art déco, à son apogée, l’année la plus noire de la décennie, en 1929. Un hommage aussi à son terroir : le Jura, les Franches-Montagnes, La Chaux-de-Fonds, berceau du style sapin, l’Art déco des forêts, qui retrouve ici des traits plus urbains.
Le point de départ de la création est la typographie. Avec une ligne de recherche : « Réinterpréter des chiffres Art déco.» Un travail de fond est effectué, de la sélection de la police de caractère jusqu’à son dessin final. Les chiffres sont architecturés, ouverts, ajourés comme des éléments de façade. Un jeu de lignes sophistiqué et subtil qui provoque son petit effet visuel : les indexes sont-ils rapportés ou gravés ? La petite seconde, quant à elle, n’est pas indexée, simplement marquée d’un point.
« La conception du cadran et des aiguilles est venue ensuite », explique The Horophile. Comment afficher les chiffres ? Droit ? Circulaire ? Ils seront circulaires, comme posés sur un disque. Le motif du disque devient à son tour central, travaillé graphiquement en deux dimensions pour souligner les deux espaces d’affichage du temps : le grand cadran heure minute et le sous-cadran de la seconde. Le disque est aussi travaillé en trois dimensions, au centre de la montre, avec une série de sillons concentriques, en godrons, pour donner de la matérialité au cadran et accrocher la lumière.
Les aiguilles bâtons « Empire » reprennent un motif du patrimoine universel : l’Empire State Building, gratte-ciel Art déco emblème de la modernité. Là encore, un soin maniaque a été porté aux détails, aux proportions, étage par étage, des fondations jusqu’à la flèche, et au squelettage, au centre. Pour créer au final une petite skyline mobile sur ciel disque, pur, sans logo.
La couleur maintenant. Les couleurs en réalité. La création se décline en trois variations : anthracite, saumon, brun. Trois ambiances, trois chaleurs, trois contrastes. Aiguilles et chiffres doré rouge 5N sur les cadrans anthracite et brun, anthracite et noirs sur le cadran saumon. L’accord des tons se poursuit sur le bracelet, en cuir de veau grainé : brun froid sur la version anthracite, noir sur la saumon, chocolat sur la brune.
Cette montre est produite en 178 exemplaires, 3 fois 59 pièces plus un modèle unique pour The Horophile.
3 ANS DE GARANTIE
Mouvement automatique
Réserve de marche de 38 heures
Boîtier Acier inoxydable poli, Ø39 mm, distance entre les cornes : 20 mm, entre les cornes : 45,90 mm, épaisseur : 12,82 mm, 3 pièces, glace saphir bombée avec traitement antireflet sur les deux faces, mouvement visible à travers le fond transparent, étanche à 5 bar (50 m / 165 ft), couronne signée sapin, fond gravé « The Horophile 1 of 178 ».
Cadran Brun, extérieur et compteur satinés circulaires, centre godronné, transferts en or rouge 5N
Aiguilles Aiguilles de forme « Empire » en or rouge 5N (bâton échelonné squeletté)
Fonctions HMS
Aiguilles centrales des heures et des minutes, aiguille des secondes à 6 heures
Bracelet Bracelet en cuir de veau grainé brun avec surpiqûres ton sur ton, doublure en cuir de veau grainé noir, boucle à ardillon en acier inoxydable poli, ergots pour un changement rapide du bracelet.
Dimensions : largeur 20/18 mm, longueur 80/115 mm
Mouvement Automatique, calibre Sellita SW261-1, 3 aiguilles avec petite seconde à 6h, 11½ »’, Ø25.60 mm, hauteur : 5.60 mm, 31 rubis, 28’800 A/H (4Hz), mouvement version élaborée, masse spécialement ajourée avec symbole Louis Erard laqué noir, réserve de marche d’environ 38 heures.